Les réfugiés yéménites fuient la guerre civile et se retrouvent à Djibouti, un pays où la dictature fait encore des ravages où les policiers font leurs lois, torturent, violent, tuent et parfois même, appuie des groupes terroristes.
Ainsi la police de Djibouti a une image chaotique au sein de la population djiboutienne, c'est pourquoi "Afturay Afturay, nafta oon bixiyoo afturay", une mélodie incestueuse, est diffusée pendant le mois du ramadan, lors de la casse du jeûn à la télévision djiboutienne.Une image complètement paradoxale de la réalité, car pendant que le cousin d'Abdillahi Abdi viole nos soeurs yéménites au Shération, ses cousines chantent le ramadan.
Pendant ce temps, la population réprimée chante Tiken Jah Fakoly: "Mon pays va mal"
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